17/11/2013

Témoignage Béatrice


Voici comme convenu, quelques mots relatant mes impressions sur cette très belle soirée avec les participants du séminaire, et de la séance d'hypnose :

Je me suis sentie très vite bien dans le groupe, avec cette sensation d'être dans ce qui m'est familier : le monde des émotions.
Il règne dans ce groupe une ambiance particulière, d'ouverture, de confiance, toute pleine d’amour.
 D'où une belle et profonde rencontre.
 C'est un peu comme si, plus que des personnes, j'avais rencontré directement leurs âmes.
 Des âmes assoiffées du meilleur à quoi elles peuvent aspirer, qui savent si bien recevoir et offrir, et de qui l'on peut s'apprendre. Des présences permettant simplement et si merveilleusement d'être, ni plus, ni moins, juste d'être. Et cela suffit à la joie, à mieux apprécier la vie.
 Voilà pourquoi, je n'oublierai pas ce samedi 11 mai à la Guerche ...
 Pour ce qui est de l'hypnose ...
 Je me souviens d'un état d'une intensité telle que j'ai été replongée dans un moment du passé que je voudrais oublier (la séparation avec les cercueils de mes êtres chers décédés) comme si le temps n'avait plus existé, rendant le passé plus présent que le présent.
 J'ai ressenti une grande douleur, réfractaire, puis une fenêtre qui s'ouvre à travers un laisser-aller ... une envie de vivre, que le tabac contredit encore.
Et puis, au moment de se quitter, ce feu d'artifice, après ces moments si forts, comme un signe du ciel, une fête du ciel à la terre. Si petite dans ce jardin, je le recevais comme un "feu vert" :
 Je ne peux l'expliquer, mais je sens en moi, une réelle force, une force d'être, de création, une présence ... comme si je percevais au-delà du visible, comme si je savais ce que je ne sais pas ... (que je n'arrive pas bien à laisser être pleinement).

 Mille mercis.

  
 Mon dernier texte, pour une revue :

 Dans un jardin, un matin annonce une chaude journée,
 Une de ces journées où un silence profond règne,
Chantant la douce torpeur où la chaleur plonge.
 Pas encore, à l'heure où l'on entend le ballet,
 Des abeilles ou des mouches voler.
 Non, bien avant, à peine après la rosée,
 Dans un souffle d'air délicatement parfumé, là,
Sur ce vert infini de l’herbe, dans ce fin fouillis de roses,
 Elle apparait.
 Simple instant fascinant, 
 Humant l'essence du bonheur,
 Comme une caresse qui réjouit l'âme,
 d être, dans la présence, la rencontre avec : La  BEAUTE ... 
 Nguyen Béatrice.

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